Découvrez l'histoire toute simple d'une enfant qui a beaucoup de mal à prendre des décisions.
Trèfle et sa famille habitent dans une jolie ferme. Autour de la chèvrerie, il y a toujours un tas de choses à faire. Mais il est si difficile pour Trèfle de choisir parmi toutes ces choses!
Le jour où la chèvre Pivoine s'aventure loin de la ferme, Trèfle va être confrontée à un choix important: doit-elle suivre Pivoine dans la forêt ou faire demi-tour pour retrouver le chemin de la rivière ?
S'ensuivent de nombreuses décisions que Trèfle devra prendre, pour arriver au bout de son périple.
L'album est découpé en 5 chapitres, correspondant chacun à un choix que doit faire Trèfle. Ces prises de décisions mettent en lumière la voie qui compte, celle du coeur.
Ce conte subtilement illustré par Qin Leng nous plonge dans un conte où la nature prend vie sous forme de personnage bienveillant, de refuge.
Qu'y a-t-il à l'intérieur d'un cochon ? Une famille de loups, bien sûr ! À l'intérieur d'un fer à repasser ? Une salle de sport, évidemment ! À l'intérieur d'une crotte de nez ? D'une chaussette ? D'un volcan ? Surtout, qu'y a-t-il à l'intérieur de ce livre ?
Ils sont là, parmi nous, jamais où tu regardes, à circuler dans les angles morts de la vision humaine. On les appelle les furtifs. Des fantômes ? Plutôt l'exact inverse : des êtres de chair et de sons, à la vitalité hors norme, qui métabolisent dans leur trajet pierres, déchets, animaux ou plantes pour alimenter leurs métamorphoses incessantes. Lorca Varèse, sociologue pour communes autogérées, et sa femme, Sahar, proferrante dans la rue pour les enfants que l'Éducation nationale, en faillite, a abandonnés, ont vu leur couple brisé par la disparition de leur fille unique de quatre ans, Tishka - volatilisée un matin, inexplicablement. Sahar ne parvient pas à faire son deuil alors que Lorca, convaincu que sa fille est partie avec les furtifs, intègre une unité clandestine de l'armée chargée de chasser ces animaux extraordinaires. Peu à peu, ils apprendront à apprivoiser leur puissance de fuite et à renouer, grâce à eux, avec ce vivant que nos sociétés excommunient.
Les furtifs nous plonge dans un futur proche où le libéralisme et la technologie n'ont jamais aussi bien maximisé nos servitudes volontaires - sous couvert de libération !
Retour aux sources: une enquête aux frontières du réel.Quand Friday Fitzhugh revient à Kings Hill pour les vacances de Noël, la neige tombe à gros flocons... Elle qui a passé son enfance dans cette petite ville à élucider des mystères en tout genre aux côtés de son meilleur ami, LancelotJones, pensait bien avoir tourné la page en entrant à l'université. Mais il lui suffit de revoir Lancelot pour se laisser embarquer dans une nouvelle aventure ! Petit prodige local mal-aimé de tous, ce garçon a toujours su résoudre les affaires les plus occultes de la région avec la bienveillance du shérif local. Pour autant leurs retrouvailles n'ont rien d'idyllique et malgré le lien fort qui les unit, les non-dits subsistent... Ils ne sont plus des enfants désormais. Pour l'heure ce qui inquiète Friday c'est cette étrange apparition dans les bois environnants!
À mi-chemin entreStranger Thingset Stephen King, le premier volume de cette nouvelle série mêle légendes, énigmes et romance adolescente dans un polar aux frontières du fantastique !Ed BrubakeretMarcos Martin, deux talents acclamés de la bande dessinée font leur entrée dans le catalogueGlénaten créant un univers aussi onirique que mystérieux, où les sentiments sont peut-être plus dangereux que les créatures maléfiques qui hantent les bois.
La version Dyscool du chef-d'oeuvre de Daniel Pennac Dans un zoo, un enfant et un vieux loup borgne se fixent. Dans l'oeil du loup, défile une vie sauvage en Alaska. Dans ceux de l'enfant, la vie d'un petit Africain qui a parcouru le continent pour survivre.
Une version adaptée en lecture facilitée Avec Dyscool, lire devient facile et agréable !
Livre pour les enfants à partir de 7 ans.
Comment aider l'enfant surdoué à s'épanouir et à mettre à profit ses immenses capacités ? Être surdoué, c'est une richesse, mais c'est aussi une différence que les parents et les enseignants connaissent mal.
Cet ouvrage propose une nouvelle vision de tous ces enfants et adolescents qui à la fois possèdent des aptitudes intellectuelles de haut niveau et - paradoxalement - souffrent de difficultés dans leurs apprentissages scolaires. Ce HP-DYS, ou « twice exceptional » selon l'appellation consacrée chez les Anglo-Saxons, est actuellement reconnu comme une problématique de santé publique à part entière, même s'il existe encore quelques réticences, en particulier dans les milieux psycho-pédagogiques, à en accepter l'existence.
Alors pourquoi ce déni persistant ? Quels enjeux pour la santé, pour l'école ? Et surtout comment aider l'enfant et sa famille souvent en détresse face à l'incompréhension ambiante ? Autant de questions auxquelles ce petit ouvrage va tenter de répondre, en évitant les clichés et les croyances, mais en s'appuyant systématiquement sur les données probantes, notamment celles des neurosciences qui commencent à peine à s'intéresser à la question. Au fil des chapitres, c'est une discipline phare, la neuropsychologie, qui servira de fil rouge, en imposant la rigueur du raisonnement alliée à la richesse de l'observation clinique interdisciplinaire comme une voie cohérente vers la compréhension et donc la bientraitance de l'individu par son entourage et tous les acteurs qu'il aura pu croiser au cours de son chemin de vie.
Automne, le paresseux Automne, est déjà là. La Rougette va aller porter à sa Mère-Grand la galette et le petit pot de beurre. Il y aura le loup, le chemin le plus long, la chevillette, la bobinette, et cetera, et cetera : pfff, toujours la même histoire ! Mais La Rougette, elle en a ras les couettes de l'histoire qui se répète. Pour échapper au loup, elle se déguise, et n'hésite pas à l'invectiver dès qu'elle le voit pointer le bout de son nez. Mais cette fois le loup n'a rien demandé...
Monsieur Loup vit seul dans la forêt. Jamais personne ne lui écrit. Pourtant, un matin, il reçoit un bien étrange courrier...Une histoire d'amitié et de solidarité racontée avec tendresse par Katerina Sad, une jeune artiste ukrainienne.
Nous commençons par une ritournelle.? La semaine. Arrivent deux amis. Théière et Deux-Mains, hier et demain.? Tout le jour, ils jouent des mélodies à quatre mains.? Ensuite vient la nuit.? Et les saisons:le Printemps, l'Été, l'Automne et l'Hiver qui porte dans son ventre la tempête et le froid. La tempête emporte la maison, et Lundi commence à s'effacer doucement.? On ne voit bientôt plus Lundi, mais on le sent à travers les flocons, par un effet d'embossage dans le papier. On perd la couleur, on perd le texte, le livre devient tactile, le grammage du papier s'affine:on perd le personnage et on perd le livre dans nos doigts. Le papier devient si transparent qu'en tournant la page, on voit avant et après. Le printemps bourgeonne. Un nouveau lundi revient. Le lundi suivant.
Aleqa sillonne la banquise sur sa motoneige lorsqu'elle tombe sur une oursonne blessée. Elle lui porte secours, la met à l'abri, l'observe prendre des forces en même temps que son propre ventre s'arrondit. Mais le prédateur aux trousses de l'oursonne n'a pas dit son dernier mot.
Selon le principe des livres promenade, les tout-petits suivent de page en page des personnages qu'ils retrouvent dans tous les titres de la collection. Après À la mer et En Ville, nous voici à la montagne. en hiver ! Sur un télésiège, en terrasse, à la patinoire, avec des skis aux pieds ou des patins à glace, les fesses sur une luge ou dans la neige, la vie à la montagne c'est l'aventure ! Superman est toujours là bien sûr, retenant nuages et avalanche, de drôles d'animaux profitent des sports d'hiver et se mélangent aux alpinistes et aux skieurs, et le petit garçon des précédents livres promenade, arrivé à l'âge des « pourquoi » questionne sans cesse sa maman.
Un album tout carton drôle et coloré qui aiguise le sens de l'observation !
Lorsque le bûcheron perd sa moufle dans la forêt hivernale, Il ne faut pas longtemps pour que les animaux s'y installent à l'abri du froid. Tour à tour, la souris, la grenouille, l'écureuil, le lapin, le renard et même le gros ours prennent leurs aises dans la moufle douillette...
La collection des imagiers accordéon, un premier tour du monde aux couleurs vives et gaies qui ouvre les yeux de l'enfant sur la richesse de cultures différentes.
La chapka, le renne, le traineau, le fjord, le morse, les maisons colorées, l'iceberg ... trente images pour découvrir les pays nordiques, sous la forme d'un leporello.
Comment l'architecture, gouvernée par des règles strictes et des dogmes intangibles, pourrait-elle être impossible ? Partant de cette apparente contradiction, l'exposition kaléidoscopique présentée au musée des Beaux-Arts du 19 novembre 2022 au 19 mars 2023 explore les multiples voies empruntées par les artistes, de la Renaissance à aujourd'hui, pour faire « déraisonner » l'architecture.
Affranchie des codes rigides dans laquelle l'emprisonne sa seule existence bâtie, l'architecture est susceptible de porter des idées comme de sonder les tréfonds de la pensée humaine, la mémoire et l'inconscient. Telle qu'elle surgit dans notre imaginaire, elle constitue une source d'inspiration majeure pour l'histoire de l'art et a fécondé à toutes les époques l'inspiration des artistes, qui puisent dans l'imaginaire lithique un puissant potentiel d'évocation propre à surprendre, déstabiliser, questionner, dénoncer. La présentation est orchestrée en cinq chapitres thématiques placés chacun sous les auspices d'une notion (caprice, démesure, égarement, menace et perte) et offrant autant de clés de lecture possibles du thème. Certains motifs comme le labyrinthe, la tour, la maison hantée, les escaliers impraticables ou la ruine, servent de fil conducteur à un voyage dans des mondes étranges, fabuleux et inquiétants, où la présence humaine a souvent entièrement disparu.
Placée dans un esprit d'ouverture, l'exposition ne se limite pas à la peinture et à l'art sur papier, deux médiums privilégiés de l'« artiste bâtisseur » comme de l'architecte (lorsque celui-ci choisit de délaisser règles et compas pour s'emparer du pinceau et du burin). Elle offre plus largement des résonances avec la littérature, la photographie, le cinéma et le jeu vidéo. Réunissant plus de 150 oeuvres de toute nature issues d'institutions nationales, internationales et de collections particulières, elle rassemble une cinquantaine d'artistes : noms éminents (Giovanni Battista Piranesi, Hubert Robert, Louis-Etienne Boullée, Victor Hugo, Gustave Doré, Maurits Cornelis Escher, Max Ernst, Wim Delvoye, etc.) ou plus confidentiels (Albert Trachsel, Wenzel Hablik, Emily Allchurch, etc.). Tous placent l'architecture au centre de leur démarche créative et de leur univers visuel.
Chahutant les traditionnels discours sur l'art, les hiérarchies et les classifications par époque et par genre, l'exposition offre au visiteur une plongée sensorielle dans des univers déconcertants qui bousculent radicalement nos perceptions immédiates et nos habitudes cognitives. À travers une approche sensible du motif architectural, l'exposition se présente elle-même comme une expérience de perturbation spatiale. La promenade se transforme en errance et c'est gagné par le vertige que le visiteur déambule dans l'exposition.
Une parenthèse enchantée Raymond Cauchetier (1920-1921) fait d'abord carrière dans l'armée française après avoir été résistant dès 1943. Missionné en Indochine pour créer les services de presse de l'armée de l'air, il est ensuite chargé sans expérience aucune et sans protection de photographier le conflit opposant la France et le Viêt Minh. Après la signature des accords de Genève, séduit par la richesse culturelle du Vietnam, il reste sur place pour accroître son expérience de photographe. Après avoir été engagé comme photographe de plateau sur le premier film de Marcel Camus, tourné en Asie, il est appelé en 1960 sur le tournage d'À bout de souffle de Godard et il révolutionne, grâce à son expérience de photo-reporter (et aux possibilités offertes par une pellicule utilisée pour les romans-photos), la technique et l'atmosphère des photos de plateau.
Toute une époque À bout de souffle, Baisers volés, Lola, Une femme est une femme, Jules et Jim autant de films essentiels dont les tournages sont dévoilés dans ce bel ouvrage. Photos d'acteurs saisis dans toute leur jeunesse et leur beauté, de cinéastes au travail, concentrés sur la nécessité de faire évoluer le cinéma mais aussi clichés d'un Paris des années 60, parcouru de badauds curieux d'un cinéma qui se tourne en plein air Ce livre est un cadeau pour tous les amateurs de cinéma et de photographie, un hommage au talent et à la grâce d'une poignée de créateurs en pleine révolution artistique.
Dans l'histoire du jazz, il a une place unique. C'est un génie, et un musicien inclassable qui dépasse le genre où il s'est illustré. C'est aussi un personnage énigmatique dont on n'a jamais fini de faire le tour...
Il y a quarante ans, le 17 février 1982, disparaissait l'une des figures essentielles du jazz : Thelonious Sphere Monk. Poète de l'essentiel, il a écrit quelques unes de plus belles pages du jazz moderne avec Charlie Parker, Miles Davis, Sonny Rollins et John Coltrane. Le pianiste est singulier, le compositeur, auteur du célèbre standard « Around Midnight », est l'un des plus prolifiques de l'histoire du jazz. L'homme est fantasque, mutique, mystérieux.
Dans Mystère Monk, Franck Médioni a rassemblé plus de cent-vingt contributions de par le monde. Ils sont musiciens (Sonny Rollins, Herbie Hancock, Chick Corea, Martial Solal, Archie Shepp, Bill Frisell, Joe Lovano, John McLaughlin, Laurent de Wilde, Yaron Herman, Henri Texier, Bernard Lubat, Jean-Claude Vannier, Alain Planès, Pascal Dusapin...), journalistes (Michel Contat, François-René Simon, Guy Darol, Edouard Launet...), musicologues (Leila Olivesi, Lewis Porter, Philippe Baudoin), écrivains (Jacques Réda, Yannick Haenel, Philippe Sollers, Jean Echenoz, Yves Buin, Zéno Bianu, Allen Ginsberg, Christian Bobin, Sylvie Kandé, Jack Kerouac, Thomas Vinau, Esther Tellermann, John Edgar Wideman, Julio Cortázar, Roberto Bolano, Nimrod, Eric Sarner, Marcuse Malte, Pacôme Thiellement...), photographes (Jean-Pierre Leloir, Guy Le Querrec, Bob Parent, Roberto Polillo, Marcel Fleiss, Christian Rose...), dessinateurs (Enki Bilal, José Muñoz, Cabu, Serguei, Willem, Blutch, Youssef Daoudi, Edmond Baudoin, Louis Joos, Jacques Loustal, Jacques Ferrandez, Serge Bloch, Jochen Gerner, Charles Berberian, Christophe Chapouté, Albin de la Simone...), peintres (Victor Brauner, Willem de Kooning, Miquel Barceló, Ben Vautier, Ernest Pignon-Ernest, Charlélie Couture...) ou réalisateurs (Bertrand Tavernier, Clint Eastwood).
Cet ouvrage collectif est kaléidoscopique. Il multiplie les angles (témoignages, analyses, récits, fictions, poésies, photographies, dessins, peintures). Un livre polyphonique qui est à la fois chronologique et thématique. Écritures variées, rythmes éclatés, images et couleurs démultipliées, un portrait saisissant de Monk s'esquisse.
Ernest Pignon-Ernest, artiste incontournable de la scène française, se livre sur son parcours et son processus de création dans cet ouvrage édité par le FHEL à l'occasion de sa grande rétrospective. Pionnier de l'art urbain, il dévoile 50 ans d'interventions dans l'espace public à travers ses installations, dessins et son oeuvre de photographe.
De Nice à Naples, Alger, Grenoble ou Soweto, il investit les murs du monde entier et colle ses dessins, figures poétiques et engagées, faisant de la ville son atelier et le théâtre des combats qu'il dépeint :
Rimbaud à demi effacé dans les rues de Paris, Pasolini en Pieta, caravagesque, couple expulsé collé sur le mur de son immeuble détruit, ouvrier au corps abimé par le travail ou personnages fantomatiques se tenant dans des cabines téléphoniques.
A ce témoignage, viennent s'ajouter les éclairages de Jean de Loisy : éléments biographiques, historiques, analyses d'oeuvres ou extraits des poètes qui habitent l'oeuvre de l'artiste.
Fondée en 1847, la maison Cartier est à l'origine une humble bijouterie artisanale. Au tournant du XXe siècle, les trois petits-fils du fondateur reprennent l'entreprise avec pour devise : « Ne jamais copier, toujours créer. » Leur rêve : conquérir le monde grâce à leurs talents complémentaires. Louis, l'aîné, créateur de génie et esprit rebelle, reprend la boutique du 13, rue de la Paix à Paris. Pierre, le cadet, a le sens du commerce et est entrepreneur dans l'âme : il s'installe sur la Ve Avenue à New York. Jacques, le benjamin, le globe-trotter de la fratrie, prend ses quartiers à Londres, au plus près de la cour de l'Empire britannique. Ses connaissances en gemmologie permettent d'accéder aux meilleurs rubis, émeraudes et saphirs du monde.
Ensemble, les trois frères donnent naissance au « style Cartier » : un subtil mélange de classique et de moderne, une fabrication hors pair, une élégance intemporelle et une légèreté toute parisienne. Francesca Cartier Brickell a parcouru le monde entier à la recherche de l'histoire de sa famille, ses drames, ses passions, ses intrigues et ses trahisons.
Cette saga riche d'archives inédites nous plonge dans l'histoire des bijoux les plus emblématiques et de celles et ceux qui les ont portés. Un livre déjà best-seller en langue anglaise.
« Ce sont des mots que l'on a entendus derrière une porte et qui nous invitent dans l'intimité des autres. C'est la tête que l'on tourne vers un éclat de rire dans la rue. Le hoquet de tristesse d'une fille apprenant une mauvaise nouvelle au téléphone. C'est la phrase glissée dans une conversation, une phrase qui ne paie pas de mine, prononcée comme on dit ça comme ça et dont, pourtant, on se souviendra toute sa vie. C'est le bruit que font les autres sur le fil des secondes ».
D.T.
Simon, un jeune anglais de 14 ans un peu rondouillard, est constamment l'objet de moqueries de la part des jeunes de son quartier, et il est recruté pour toutes sortes de corvées. Un jour où il fait les courses pour une diseuse de bonne aventure, celle-ci lui révèle quels vont être les gagnants de la prestigieuse course de chevaux du Royal Ascot. Simon mise alors secrètement toutes les économies de son père sur un seul cheval, et gagne plus de 16 millions de livres. Mais quand il revient chez lui, Simon trouve sa mère dans le coma et la police lui annonce que son père a disparu. Étant mineur, Simon ne peut pas encaisser son ticket de pari. Pour ce faire, et pour découvrir ce qui est arrivé à sa mère, il doit absolument retrouver son père. Au terme d'une aventure riche en péripéties et en surprises, Simon, l'éternel perdant, deviendra un gamin très débrouillard.
La couleur des choses de l'auteur suisse Martin Panchaud bouscule les habitudes des lecteurs et lectrices de bandes dessinées ; le livre est intégralement dessiné en vue plongeante sans perspective et tous les personnages sont représentés sous forme de cercles de couleurs. La couleur des choses oscille entre comédie et polar avec une technique graphique surprenante, mêlant architecture, infographies et pictogrammes à foison, qui font de ce roman très graphique un livre étonnant et captivant.
Dr Morley, passionnée par les méduses depuis toujours, s'apprête à embarquer pour une mission à l'extrémité la plus septentrionale de la planète : la recherche d'une créature dont tout le monde parle, mais que personne n'a jamais vue... la méduse géante de l'Arctique. Parviendra-t-elle à croiser son chemin et à enfin percer son mystère ?
Une clé à molette, une fourchette, une amulette, une brouette : tout est dans la galette !